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19 juillet 2006 3 19 /07 /juillet /2006 04:43

Au personnel de soins, mon père avait confié avoir un petit-fils grand et musclé, un 'beau jeune homme', ce qu'il s'empressa de démontrer encore en me voyant arriver.

" Vous voyez bien..."

Ma soeur put heureusement l'interrompre et le détromper, gardant intacte l'image de son fils absent. "Mais non papa, tu vois bien, c'est ton fils"

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commentaires

H
La vérité transfigurée démériterait'elle par rapport au constat ?
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H
Finalement, toi aussi tu voues un culte au corps, n'est-ce pas? Tu les dessines! Mais Dieu merci, chacun a ses propres standards, pas toujours du côté du mannequinat. Toi tu préfères toujours un corps touchant à un corps parfait. (moi aussi, hum) 
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L
L'incident a sans doute été oublié dans les secondes suivantes... 
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P
Jean-Yves, Dans une famille où l'on voue plus de "dévotion" au corps qu'à l'esprit, je me suis d'abord senti "remis à ma place". Des corrections, mon père ne prend nul ombrage se contentant d'un long "ah...."
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J
A-t-elle réussi à le détromper ? J'ai de plus en plus de doutes concernant l'attitude à tenir dans ce genre de situation. Et si les "corrections" se révélaient angoissantes pour la personne malade... Je n'ai aucune certitude.
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