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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 20:35
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commentaires

H
De l'art à l'expression : Patrick rend les vaches porteuses de débat.
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J
En reprenant Alexandre Vialatte dans « Jean Dubuffet et le grand magma » [1], je peux écrire : « Ocellées, ramifiées, spongieuses, tentaculaires, diaprées, mutines, les vaches de Patrick palpitent dans un bouillon d’herbages qui représente la prairie comme le vinaigre dans l’huile quand la vinaigrette s’émulsionne. »<br /> [1] Alexandre Vialatte, Jean Dubuffet et le grand magma, Editions Arléa, 1988, ISBN : 2869590393, page 96
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J
En fait et en fête, Patrick à l’image de Dubuffet fait de l’art avec ses impressions livrées toutes nues.<br /> Patrick n’utilise que le langage de ses pinceaux et me parle ainsi drôlement bien.<br /> Patrick comme Dubuffet est un « homme du commun à l’ouvrage » mais tellement peu commun. <br /> Dubuffet aimait l’art brut. Patrick en vrai « brute » de l’art habite la terre : celle où les pierres ont une âme et où les hommes aussi.<br /> Patrick, avec ses dessins, crée en moi, un paysage mental pas sage et jaseur. <br /> Je lui souhaite de pouvoir continuer longtemps ainsi.<br />  <br />
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J
Patrick serait-il parti avec Dubuffet admirer les « Salers » du Cantal, à moins qu’ils aient choisi les non-moins célèbres « Aubrac » du mont Lozère.<br />  <br />
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A
C'est un portrait en sabots de la Nébude ?
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