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30 avril 2006 7 30 /04 /avril /2006 08:56

Me voilà bien empêché d'écrire par Jacky qui par  "oh, ah, regarde, Patrick, pas génial, avec du bleu, regarde ce rose", tout entouré des petits cadres qu'il a achetés hier  "oh une merveille" essaie de positionner tous les dessins que je lui confie pour mon exposition.

On voudra bien m'excuser...

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30 avril 2006 7 30 /04 /avril /2006 08:44

Mme Ingres

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29 avril 2006 6 29 /04 /avril /2006 04:57

Un "Moulin à vent" comme PJ m'ont fait quitté hier la fréquentation d'ici. C'est que Jacky avait pris congé et tout occupé qu'il était au soin d'écouter d'abord Horowitz puis Argerich pour passer à Huguette Dreyfus ou Lilamand, j'ai su l'en divertir pour aller dehors acheter de quoi nous restaurer et l'article pourrait s'arrêter ici, revenant en première ligne sur le choix d'un "Moulin à vent" qui, pour être bon, m'a tout de suite, largement abattu et fait manqué et PJ et mes amis. A 21 h, Patrick dormait déjà, rêvant certainement encore à la surprise qu'il eut, à midi, quand rentrant pour le déjeuner, il eut la surprise de trouver son ami habillé d'un costume et cravaté. Incongru pour une journée de congé, étonnant, déroutant, je crois que c'est aussi pour celà que je l'aime, pour son sourire quand je partis d'un grand éclat de rire le voyant ainsi, pour sa volonté de se faire beau, pour - c'est émouvant - ressembler à son papa, pour toutes ces raisons invoquées combattant mon hilarité, pour être sûr de son choix, pour être ce professeur respectable qu'il est, pour habiller comme il convient l'immense talent dont il est doué, pour toutes ces raisons, pour d'autres et l'émotion monte maintenant trop fort :

 Jacky, je t'aime

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29 avril 2006 6 29 /04 /avril /2006 04:23

Vicomtesse de Marcellus

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28 avril 2006 5 28 /04 /avril /2006 04:06

Mme Bertin

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27 avril 2006 4 27 /04 /avril /2006 04:14

L'un se surnomme Sphinx et on sait ici toute notre aventure qui commença par une vitrine aux minéraux de prédilection pour prendre fin trop vite à l'arrêt du trente-huit. Un dernier regard après le compostage des billets et nous l'avons vu longer le square St-Jacques pour, nous l'apprendrons, le lendemain, rejoindre la Concorde à pied. Nous nous reverrons bientôt.

Un autre a choisi de s'appeler Haysi. Je l'imaginais car il est inévitable d'imaginer, je crois, la personne avec laquelle nous communiquons. Feignant d'ignorer tout ce que je puis apprendre des détails de sa personne - il chausserait du quarante quatre-, je le vois comme un garçon originaire d'Afrique du Nord sans doute à cause de sa verve, sa tournure d'esprit, sa vivacité qui ou me font rire ou me séduisent.

"En marge" reste pour moi mystérieux. J'aime son écriture qui n'est pas dans la droite ligne de ce qui s'écrit vite et sent le travail, la pensée, la pesée. Un garçon qui aime les mots, un garçon qui, sur son blog, illustre son propos de si belles photos, force le respect. Me racontera-t-il jamais ses voyages en Birmanie? Un pays que je ne pourrais évoquer ici qu'avec une profonde émotion tant nos séjours là-bas nous ont éblouis.

J'ai avec Marcus des contacts beaucoup moins fréquents bien que je visite son blog chaque jour. Ma presque vieillesse sent bien comme elle doit se tenir à distance de ceux qui n'ont pas les mêmes préoccupations ou, pour faire court, la même culture. On est aujourd'hui "gay", de mon temps "pédé" et j'ai la faiblesse de préférer ce dernier terme au premier. Notre réussite est peut-être d'avoir sorti "pédé" de l'ornière de l'injure mais c'est là un autre sujet. Donc outre que j'aime bien Marcus, je ne l'imaginais pas au-delà d'un ensemble de détails mais mon ami me surprit ce matin en me parlant de lui :"Marcus, ce doit être un beau garçon, un corps splendide, musclé, fort, à la peau hâlé, un garçon brun". Aussi à la question de savoir d'où l'imagination de mon ami tirait de pareilles conclusions, Jacky me répondit que tout était contenu dans le prénom, Marcus, l'Italie, les peplums (?), Rome et les bras sécuritaires dont le héros ceint sa bien-aimée.

L'accroche "Zorn" vint justement de son surnom. Enfin un germaniste mais rien, le nom d'un écrivain allemand, auteur je crois d'un livre qui a marqué et son esprit et celui aussi de mon professeur de dessin. Un livre que je lus, passant largement au-dessus. Celà me rappelle ce propos d'un des mes amis qui, à la question de savoir quel livre il choisirait s'il ne devait en retenir qu'un, me cita le Neveu de Wittgenstein et sur le champ m'en offrit un exemplaire car il en possédait plusieurs.

Sorte de chronique rapide du blog avec ses inévitables maladresses mais il faut aller vite et gagner bientôt la salle de bains.

Patrick est mon véritable prénom, je n'ai pas eu l'imagination suffisante pour en penser un d'approprié pour être ici. Jacky est aussi le vrai prénom de mon ami mais quand il se met à penser et quand il s'élève vers des sphères où mon poids m'empêche de m'élever, je l'appelle ' immensité '.

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27 avril 2006 4 27 /04 /avril /2006 04:00

Vicomte de Marcellus

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26 avril 2006 3 26 /04 /avril /2006 04:29

Que ceux qu'Ingres révulse quittent pour un moment la visite de ce blog car cette visite que nous fîmes fut entre toutes mémorable non seulement par la surprise qu'elle me réservait mais surtout et avant tout par la rencontre préalable que nous étions convenus de faire, celle du Sphinx à quelques pas de la pyramide mais quoi de moins surprenant diront les blasés sauf que nous n'étions pas sur le plateau de Guizeh mais au Louvre, au Louvre pour y visiter Ingres avec le Sphinx.

On trouvera ici un style lourd, redondant, répétant, mal pontué mais l'heure marque à peine la demie de six et je m'oblige d'écrire l'éblouissant. Surprise de deux torses nus dès l'entrée peints d'une pâte qu'on imagine pas être celle d'Ingres, je vais vite, mais bien vite les portraits et les dessins. Des premiers, rien moins que l'incroyable. Les visages certes mais pas très intéressants à l'exception de celui fort marqué de M. Bertin dont le Sphinx a associé l'évidente volonté, l'air entreprenant à M de Nucingen qu'on imagine aussi lui ressemblant. Le Sphinx qui m'a sensibilisé aux noms des toiles que j'ignore toujours préférant seulement regarder et mes dessins portant ici en gras le nom de ceux qu'ils représentent sont un peu d'un hommage que je lui dois. Donc des portraits aux visages de la bonne société, lisses, sans trop de surprises mais surtout les étoffes et les bijoux. Les étoffes dont la texture nous fait toucher le velours ou la soie avec un rendu éblouissant. Les parures aussi pour lesquelles on devine la connaissance d'Ingres de la joaillerie. Des dessins enfin qui sont le trait vivant, sensible, délicat, semble-t-il jamais hésitant, pas très académique l'étant malgré tout, l'évidente exigence de l'équilibre, la vérité dénuée presque de sentiments dans les portraits à l'exception, je crois, de ceux qu'Ingres fit de sa femme dans laquelle le simple passage du crayon donne au trait la puissance de l'amour, son vrai attachement, son admiration. Rien de plus déroutant que la simple expression du trait pour rendre vrai un sentiment aussi fort et je me répétais comme je l'entendais dire par un visiteur ' il devait beaucoup l'aimer '

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26 avril 2006 3 26 /04 /avril /2006 04:17

Mme Depaulis

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25 avril 2006 2 25 /04 /avril /2006 11:33

Mme Bertin

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